La Géobiologie
Quantique Holistique et Opérative
Harmonisation des lieux par la géobiologie
Appelée aussi biologie, métaphysique ou encore médecine "de l'habitat" ; la géobiologie est l'étude et la manipulation de tout les phénomènes vibratoires qui nous entourent (énergies telluriques et cosmo telluriques), qui ont une influence sur les occupants d'un lieu à travers la santé et le comportement des êtres vivants (humains, animaux et plantes).
Nos cellules, pour être en bonne santé, doivent vibrer, osciller. Si ce n'est plus le cas où qu'elles sont stressées, elles dégénèrent, et les problèmes de santé et de maladies apparaissent.
La géobiologie est un art sacré et ancestral utilisé depuis toujours, l'Homme savait être en harmonie avec la Terre Mère et ses cycles : forces naturelles environnantes.
Étymologiquement, le mot Géobiologie résulte de l'association de trois mots grecs (Gé: la terre; bios: la vie; logos: rapport/ l'étude). Le but de la géobiologie est de permettre à chacun des occupants d'un lieu d'optimiser son bien-être et sa santé.
D'une manière globale, le géobiologue anciennement appelé sourcier fait prendre conscience des nuisances d'un environnement, ayant un effet néfaste sur les être vivants ; ces nuisances peuvent provenir de différentes sources comme :
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le tellurisme : les énergies de la Terre (Réseaux tellurique comme Curry, Hartmann, des cheminées cosmotellutiques, des vortex, etc),
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la géologie (présence de failles ou courants d'eau souterrains, etc),
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l'électrosmog : technologique (pollution électromagnétique ambiante : prise de terre et électrique défaillante, wifi, micro-onde, compteurs, antenne relais à proximité, etc),
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Plans subtils : éthérique, astral, mental, etc (entités, âmes errantes, charges et mémoires, paranormales, objets chargés, magie, etc)
La géobiologie à un rôle à la fois préventif et curatif : ses expertises ont pour but d'identifier, de décoder puis de solutionner les problématiques qui pourraient avoir un effet sur les différents corps qui nous composent (Physique, Ethérique, Astral, Mental,...)
Elle permet aux habitants d'un lieu d'éviter toutes conséquences nocives au niveau de leur santé physique et mentale, mais aussi dans leur vie quotidienne (évolution professionnelle, affective et spirituelle, par notamment la régénération normale du corps pendant la nuit : n'être soumis à aucun stress "invisible" pendant les temps de repos).
N'oublions pas que nous avons choisi notre lieu de vie, il fait partie de nous. Celui-ci mettra en évidence les problématiques et conflits profonds de ses occupants, cela peut-être également dû à des problématiques inhérentes au lieu, à sa situation et à son passé. Chaque lieu est unique : il porte en lui les traces de son passé et des personnes qui l'ont habité, c'est ce qui fait que l'on peut se retrouver bien comme très mal à l'aise dans certains endroits sans comprendre pourquoi.
Quel que soit la sensibilité des personnes à ces phénomènes, tout individu peut ressentir l'impact négatif d'un lieu ou environnement : difficultés à dormir ou avoir un sommeil réparateur, maux de tête, avoir systématiquement la tête dans le brouillard au réveil, ne pas se sentir bien chez soi, cauchemars/terreurs nocturnes, problèmes relationnels entre les habitants du foyer, etc. Observez vos animaux, ils sont bien plus sensibles que nous à ces nuisances.
Ainsi, en procédant à une lecture énergétique du lieu par une expertise géobiologie, on pourra remonter jusqu'aux problèmes personnels des individus : en traitant le lieu, puis les personnes, le géobiologue laisse de l'espace pour avancer dans leur cheminement tout en rendant au lieu et à ses occupants leur harmonie sur tous les plans.
Ce travail peut se faire à tout moment, même de façon préventive : avant l'achat d'un bien immobilier ou pour une construction afin d'identifier et corriger quand cela est possible les problématiques d'un terrain ou d'un bâtiment.
Quelques recherches
Nos ancêtres savaient...
Les anciens considéraient que l'emplacement pour construire sa maison ou ériger un édifice spirituel ne devait pas être choisi au hasard, mais en tenant compte d'un certain nombre de paramètres, comme la nature du sous-sol, la présence de failles, des courants d'eau, etc.
Petite chronologie de la géobiologie
1000 ans avant J.C.
En Chine, l'avis du maître Feng shui était demandé avant n'importe quel type de construction. Les zones interdites par le maître étaient celles soumises à des influences nocives, et rien ne devait y être bâti.
800 ans avant J.C.
Les Etrusques (VIIIe siècle av. J.C.-Iet s av J.C.) connaissaient les influences du lieu et du tellurisme ; ils avaient inventé une sorte de bâton sans nœud se terminant par une crosse courbe, le lituus, qui était employé pour déterminer les endroits propices à la construction d'une maison ou d'une cité. Le lituus était considéré comme un outil magique.
700 ans avant J.C.
Dans son livre "Le grand cabinet romain", publié en 1706, Michel-Ange de la fondation de Rome en 723 av J.C., que Romulus fut le premier Romain à mettre en oeuvre "ce bâton mytérieux, avec lequel il partagea et observa auguralement les différentes regions du ciel en faisant le plan de la ville".
400 ans avant J.C.
Hippocrate (460-377 av J.C.), qui est considéré comme le père de la médecine moderne, énonçait de sages préceptes quant à l'hygiène de vie, notamment le suivant : "Celui qui veut se perfectionner dans l'art de guérir considérera comment l'endroit est disposé et s'informera du sous-sol, concurremment avec la constitution des êtres vivants."
(extrait du traité des airs, des eaux et des lieux, 430 av J.C.)
50 ans avant J.C.
Le choix réfléchi d'un lieu sain, loin des marais, a été préconisé par Vitrue, architecte et ingénieur romain ( 90 av J.C. -20 av J.C.) dans son traité d'architecture : "Anciennement, on mettait mort les animaux qui passaient dans les lieux où l'on voulait fonder une ville ou établir un camp ; on en examinait les foies (...).
Après avoir reconnu que cet organe était sain et entier (...), on y élevait des retranchements. Si, au contraire, on les trouvait généralement corrompus, on allait s'établir ailleurs (...°. (De Architectura, Livre I, Chapitre IV, 9).
XVè siècle
Avant d'établir un campement de longue durée, les Amérindiens avaient l'habitude d'observer les chevaux à demi sauvages et établissaient leurs tentes sur les endroits privilégiés par ceux-ci.
XIXè siècle
La géobiologie a été remise au goût du jour par la publication de Géographie des maladies du cœur, de la phtisie et du cancer, dans laquelle le Dr Haviland expose ses observations et conclue qu'il existe des zones géographiques "à risques" pour la santé.
XXè siècle
C'est véritablement au cours du XXè siècle que se sont constituées les bases actuelles de la géobiologie.
En France, en 1920, Jacques Couëlle a commencé à poser les premières bases de l'architecture géobiologique (influence du sol, des formes, des matières, des couleurs, etc.). A peu près à la même époque, le docteur François Peyré commençait ses recherches sur les réseaux géomagnétiques.
Aussi, le docteur Jean Picard, de Moulins dans l'allier avait remarqué que certains quartiers de sa ville présentaient une fréquence plus élevée de maladies cardiovasculaires et de cancers.
Plus le sous-sol comportait d'anomalies (courants d'eau, failles, radioactivité) et plus la fréquence de pathologies était importante.
En 1927, le Pr Asène d'Arsonval, médecin, biologiste et physicien, membre de l'Académie de médecine et de l'Académie des sciences, met en évidence la relation entre la fréquence 'apparition des cancers et la présence d'un faille géologique dans le lieu d'habitation.
Des travaux entrepris avant la deuxième guerre mondiale en France, Suisse et Allemagne ont révélé l'existence d'un réseau géomagnétique recouvrant le globe terrestre comme un filet.
Dans les années 1930-1940, le Dr Hartmann constate un taux de mortalité plus élevé dans certains lits de son hôpital et soupçonne un lien entre les rayonnements telluriques et la santé. Il change les lits de place de façon étudiée et systématique, et constate une amélioration des symptômes chez ses patients, stationnés auparavant en zone pathogène et déplacés en zone neutre. Des études sur le lieu viennent corroborer ses hypothèses Le Dr Hartmann conclu donc que des courants telluriques venant de sous-sol perturbaient l'environnement et dégradaient la santé.
C'est donc le docteur Hartmann (1915-1992) qui apporta ses lettres de noblesse à la géobiologie. Il démontra l'existence d'un réseau tellurique, à la surface de la terre baptisé "réseau H ou réseau Hartmann". Celui-ci permet de déterminer les noeuds Hartmann et les points géopathogènes.
Cette science à bien évolué et fait appel dorénavant à d'autres champs de savoirs, comme la géologie, la géophysique, l'hydrologie, la biologie, l'électronique, également à des pratiques plus traditionnelles comme l'art du sorcier et de la radiesthésie.
En résumé
Les peuples anciens, les hommes proches de leurs ressentis et en contact avec la terre et la nature étaient convaincus de l'importance que possédait un lieu ; cette notion était inhérente à tout ce qu'ils entreprenaient. Ils possédaient différents moyens pour s'assurer d'effectuer les bons choix de lieu de vie.
Plus tard, le savoir et la connaissance des effets du tellurisme sont venus corroborer ces ressentis ancestraux. Cette connaissance a tendance a se perdre avec l'arrivée de la sédentarisation, alors que c'est justement à ce moment-là que l'homme en aurait eu le plus grand besoin. En effet, rester de façon prolongée au même endroit le rend beaucoup plus vulnérable.
Les animaux, eux aussi, savent... Ils sont de bons révélateurs des agressions géopathogènes
Nous sommes nombreux à avoir constaté chez nos animaux domestiques qu'ils ne se placent pas au hasard et qu'ils évitent ou recherchent certaines zones précises.
Les chevaux et les chiens évitent de stationner sur des zones perturbées. Ils n'y restent jamais longtemps de leur plein gré. Il est d'ailleurs préférable que le possesseur de chien observe les réactions de son animal avant d'y placer définitivement la niche. A défaut, son chien pourrait tomber malade.
A l'inverse, le chat est réputé pour se placer de manière récurrente sur les nœuds Hartmann.
Ceci n'a rien d'étonnant puisque le réseau Hartmann est de nature électrique et que la fourrure du chat est isolante électriquement. Une expérience de physique consiste d'ailleurs à démontrer l'existence de l'électricité statique en frottant l'un contre l'autre deux matériaux isolants : une peau de chat sur du verre.
Après que la peau de chat aies abrasé ses électrons de surface, le verre pourra attirer des cheveux ou du papier.
Après avoir chargé sa fourrure électriquement sur un noeud Hartmann, le chat se roule par terre sur le dos. Cela permet aux électrons de regagner le sol et à la fourrure du chat de redevenir neutre. Nous éviterons donc de nous placer durablement à l'endroit où se remet le chat.
Gardons malgré tout à l'esprit que le chat aime son confort et qu'il n’hésitera pas longtemps entre un coussin confortable, même en zone neutre, et un noeud Hartmann à même le sol.
Il semble que les fourmis aiment également le réseau Hartmann.
Les abeilles seraient plus agitées et plus actives si leur ruche est placée sur un noeud Hartmann. Mais il conviendra de les placer en zone neutre durant l'hiver pour qu'elles puissent se reposer.
Certains emplacements à l'intérieur des étables ne sont jamais piétinés parce que les animaux en ressentent les perturbations.
Dans les stabulations entravées, où les animaux sont contraints de séjourner dans des boxes, les vétérinaires observent des anomalies de développement. Certains animaux auront des dystrophies entre train avant et train arrière. La partie de l'animal qui séjourne en période de croissance sur un emplacement perturbé restera atrophiée.
Il semble que les ondes électriques peuvent servir de "porteuses" pour la pollution chimique. On peut, à mon sens, parler de synergie électrochimique dans certaines pollutions.
Plusieurs géobiologues, qui travaillent en liaison avec des vétérinaires, en ont apporté l'illustration.
Ils rapportent que des élevages dont l'étable est proche ou en-dessous de lignes à hautes tension sont affectés de pathologies diverses lors des épandages de produits chimiques dans des champs voisins.
De surcroît, selon le manuel vétérinaire Merck, les mammites (inflammation des mamelles) et des maladies résultant d'une chute de l'immunité se produisent pour des différences de potentiel d'à peine 1 volt entre les pieds des bovins et leur garrot.
Or, lorsqu'une ligne à haute tension surplombe une étable, elle induit des courants électriques qui provoquent effectivement des mammites.
En outre, lorsqu'un animal reçoit des décharges électriques dans sa mangeoire, il refuse de s'alimenter et dépérit.
Les nombreuses expériences du Dr Jenny et de l'ingénieur Lienert, effectuées sur plus de 24000 souris entre les années 1932 et 1939, ont elles aussi, permis de mettre en évidence les effets d'une zone perturbées sur la santé des êtres vivants.
Des souris de même race, élevées dans des conditions identiques, ont été placées dans des dispositions géographiques différentes, seul paramètre qui variait selon les groupes ciblés dans l'expérience. Puis le groupe d'étude a été soumis à divers facteurs d'ordre tellurique, ici, en l’occurrence, une circulation d'eau souterraine.
Déroulement des expériences
1. Les souris ont été disposées dans des caisses en bois, placées à cheval sur une zone perturbées : un côté de la caisse sur une zone et l'autre côté sur une circulation d'eau souterraine.
Résultat : Toutes les souris ont fait leur nid du côté de la cage placée en zone neutre, et ce à chaque fois que l'expérience a été reproduite.
2. Les cages ont ensuite été tournées de 180 degrés.
Résultat : Les souris, qui étaient désormais situées en zone perturbée, ont toutes déplacé leur nid en zone neutre.
3. La cage n°1 a été placée en zone neutre, et la cage n°2 sur la zone perturbée par la circulation d'eau souterraine.
Résultat : Les souris de la cage n°1 sont restées en meilleure santé, plus calmes, et ont eu trois fois plus de petits que celles de la cage n°2.
Les souris en zone perturbée ont d'abord perdu du poids, puis sont tombées rapidement malades. Elle étaient stressées, rongeaient le treillis de leur cage, multipliaient leurs petits. Après quelques mois, elles ont développé davantage de tumeurs.
Conclusion : La plupart des animaux et des plantes sont comme les humains et dépérissent sur les points géopathogènes. Pour la santé de vos animaux, testez l'endroit avant de le leur attribuer !
NOTA
Si votre animal de compagnie est mal en point (chien, lapin, chat, souris, hamster, poule, cheval,...), c'est peut-être que sa couche (cage, panier, enclos, niche ou box) est placée en zone tellurique active, nocive pour sa santé, sur laquelle, de lui-même il ne se serait pas installé.
Veillez donc à bien choisir l'endroit de la couche de vos animaux en zone neutre.
Le plus pratique pour vous n'est pas forcément le plus sain pour vos animaux.
La plupart des végétaux sont comme nous...
La plupart des plantes ne poussent pas correctement à l'aplomb d'une faille ; exception faite des orties qui les adorent ! Certains arbres essaient, comme ils le peuvent, de se soustraire à la circulation d'eau souterraine. Certains le manifestent par leur forme biscornue et poussent penchés ou dédoublés, tentant ainsi d'échapper à la radiation nocive. S'ils n'y arrivent pas, ils végètent ; leur écorce est généralement en mauvais état et leur tronc souvent envahi par du lichen ou de la mousse.
D'autres arbres, tels que le saule pleureur, l'aulne, le bouleau et le bambou, aiment les courants d'eau souterrains et peuvent être plantés à leur aplomb.
A la différence des humains et des animaux qui bougent et se déplacent, les plantes restent 24 heures sur 24 au même endroit. Cela explique qu'elles soient plus rapidement affectées par des perturbations émanant du sous-sol. Qui n'a pas remarqué des variations importantes de tailles d'une rangée de peupliers. Pourtant plantés à la même période, certains d'entre eux feront le double des autres.
N'importe quel jardinier, amateur ou professionnel, peut témoigner qu'à certains emplacement précis rien ne pousse. Nous nous apercevons que remplacer un jeune arbre mort par un autre à la même place ne sert à rien. La nouvelle pousse succombera à son tour.
En revanche, il suffira de déplacer une plante mourante de quelques dizaine de centimètres pour qu'elle reparte. Il s'agit le plus souvent d'une faille sèche ou parcourue par un cours d'eau souterrain (faille humide). Les arbres fruitiers sont particulièrement affectés par le "galvanotactisme". Il se vrillent et se tordent en tous sens lorsque le sol est parcouru par des courants électriques vagabonds ou lorsque le sous-sol est riche en cours d'eau souterrains.
C'est une raison pour lesquelles les doctorants, en poste à l'INRA, qui travaillaient à la modélisation informatique de la croissance des arbres à partir du seul vent dominant n'ont pu aboutir.
Les arbres qui poussent penchés en lisière de forêt, et tous dans la même direction, ont subi l'influence du vent dominant. Cela semble évident.
En revanche, les géobiologues observent depuis longtemps qu'un arbre poussant à la verticale d'une rive de cours d'eau souterrain, penche pour éviter cette perturbation. Un arbre poussant sur l'autre rive penchera en sens opposé. Un troisième arbre qui pousserait au milieu du même cours d'eau survivra s'il n'est pas exposé à une faille souterraine. Contrairement aux deux précédents, il poussera droit mais sa croissance sera plus faible. Les explications fondées sur "l'héliotropisme" (attirance pour le soleil) ne peuvent selon Alain de Luzan, expliquer qu'un arbre en terrain plat se courbe ou se torde. En effet, tout arbre normalement constitué aura "compris" que l'éclairage solaire arrive d'en haut et non sur les côtés. Seuls les tournesols grâce à leur flexibilité, pourront pencher d'un côté le matin et d'un autre l'après-midi.
Concernant vos belles plantes d'intérieur, pensez à les déplacer si elles dépérissent malgré tout un arrosage et des soins adaptés. Vous serez surpris de les voir repartir en les bougeant simplement d'un mètre.
Le Brophyllum (plante sacrée des Aztèques) et le Géranium flétrissent rapidement dans une ambiance néfaste.
Le Cereus peruvianus est censé atténuer les effets nocifs des tubes catholiques. Comme il ne permets pas de faire varier les mesures des champs magnétiques et électriques, Alain de Luzan le soupçonne d'absorber une part d'électricité statique à l'aide de ses nombreux piquants.
Le Philodendron baisse la tête quand l'atmosphère est enfumée ou polluée. L'hibiscus fleurit dans les maisons saines. Vous trouverez des alliées parmi les plantes pour combattre différentes pollutions ambiantes : le Miso prévient de nombreuses maladies. Tout comme le Chlorella et le Varech, il a la réputation d'être un bon draineur de radioactivité et participe à l'élimination des métaux lourds.
L'influence d'une perturbation sur les matériaux
Des fissures, qui ne sont pas dues à l'affaissement du terrain, sont souvent visibles sur un mur se trouvant à l'aplomb d'une faille. De même, des remontées humides indiquent généralement, elles aussi, une zone perturbée, pouvant signaler la présence d'eau en sous-sol.
Si toutes ces notions relatives au lieu, au terrain et à leurs influences sur le vivant étaient jadis, sinon connues, du moins intégrées dans la vie des anciens, elles paraissent aujourd'hui en complète opposition avec les manières de procéder actuelles en matière de construction.
Les plans des logements sont dessinés sur papier, dans un bureau d'architecte ; cependant, l'impact sur la santé que pourront représenter les discontinuités de terrains, les failles, les courants d'eau souterrains, l'orientation du bâtiment, les matériaux employés ou le rayonnement émis par les édifications créées n'est généralement pas pris en compte.
En conclusion : Les constructions d'aujourd'hui sont réalisées sans que qui que ce soit ne se préoccupe du sous-sol, du passé du terrain, de l'énergie du lieu ou des autres facteurs pouvant influencer la santé des futurs habitants.